Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

[Heureusement Sans Titre]

30 septembre 2005

i don't want to see this screen anymore !

-= no more bleeding no more itching no more hiding no more pain no more awkwardeness or uneasiness

i'll try shutting off the screen for a while, see what happens. the results could be quite interesting =-

Publicité
Publicité
27 septembre 2005

N'ai-je donc aucune volonté ?(rires)

N'ai-je donc aucune volonté ?
(rires)

26 septembre 2005

Krash !

Krash !

25 septembre 2005

En réalité, rien n'a changé.Pas de

En réalité, rien n'a changé.
Pas de "renouveau". Pas de suite dans les idées. Pas de suite entre le vouloir et la volonté, et la volonté et l'action. Juste des spasmes d'hilarité et euphorie.

sagital_extreme1

"Les troubles bipolaires (psychose maniaco-dépressive) sont des troubles de l'humeur, ce qui signifie que leurs symptômes sont constitués de perturbations ou d'anomalies de l'humeur. La dépression majeure est une maladie plus courante, dont les symptômes sont principalement une humeur "affaiblie". Les troubles bipolaires comportent des épisodes de manie et de dépression graves. La personne passe d'un état excessivement heureux et irritable, à un état de tristesse et de désespoir, et ainsi de suite avec dans l'intervalle des périodes d'humeur normale."

"Les épisodes dépressifs sont marqués par des symptômes que l’on retrouve dans les autres formes de dépression : tristesse extrême et permanente, perte d’intérêt pour toutes choses, irritabilité, troubles du sommeil, manque d’énergie, troubles de la mémoire ou de la concentration, troubles de l’appétit, pensées de mort et de suicide…"

"
Les épisodes maniaques sont marqués par une humeur euphorique, une énergie permanente et démesurée, une activité débordante voire une grande agitation, une surestimation de ses capacités, un sommeil réduit à quelques heures sans entraîner de fatigue, un accroissement de l’appétit sexuel, un jugement erroné sur la réalité, consistant à méconnaître les difficultés et les problèmes, et notamment à ne pas s’apercevoir du caractère anormal de son propre état."

"Tous les degrés de l’humeur peuvent se rencontrer dans le syndrome maniaco-dépressif, depuis la dépression sévère (accès mélancolique) jusqu’à l’exaltation extrême (accès maniaque), en passant par la dépression modérée ou les périodes d’humeur normale."

23 septembre 2005

Getting life back on track (is there any ?)

Que je ne l' oublie pas !

Les choses sont telles qu'elles sont en ce moment. D' autres, à ma place, se gazéfiraient. D'autres échoueraient sur une hypothétique banquise. Quel bonheur, se gazéfier et se disperser à la manière de tout le monde ! Je n'y arrive pas. En fait, je le fais, mais d' une manière déplaisante.. En tout cas il est certain que je m'échoue. Fiel, il est temps ! Très tristement, exactement comme depuis des années.

Angoisse et ennui, constants. Et profonds. Réjouissant. S'il est de moment où dans ma vie, je ne dois être passif, c'est sans aucun doute maintenant. Après tout cet été et ses évènements, je sens - plus que jamais ! - l' heure et les astres comme s'allier pour ne jamais retarder. Il est des expériences plus frustrantes de le savoir, de le sentir au plus profond de ses os et fibres, et ne rien y faire. Quel est mon problème ? Ce n'est certainement rien de plaisant. Malheureusement, il est aussi de ces gens qui font délibérément ce qu'il ne voudraient pas.

Comme je disais, il serait vraiment temps d' agir. On peut faire tant de choses en peu de temps : je ne fais rien et j'y consacre toutes mes forces. Proférer ces âneries est certes ridicules, mais c'est tout ce qu'il me reste de possible à faire, après deux jours de clausure (un mois ? des années ?). Il est l' heure pour moi de frotter les yeux de leur sable. Au final, il avait bien raison. Trop de virtuel !





Ah, ce bon vieux Bach. Où serait le monde sans lui ?





Peut-être qu'après tout je devrais arrêter d'écouter de la musique.

Publicité
Publicité
15 septembre 2005

Quelle ivresse !

s_simon1"… giunsi a Venezia, e passando pel Canal Grande bagnai la mia stanchezza nell’ombra umida e trasparente ove il marmo esalava ancora la sua spiritualità notturna…"

Pour autant que cela me concerne, quand je repense à cet instant sur les quais, les voûtes auraient pû se déchirer et se vider de leur chromatismes, je ne l'aurais remarqué. La pertinence mille fois fulgurante de ces quelques evènements formant un équilibre si rare et sublime.. Je me demande quand il y aura une prochaine fois, peut-être bien jamais. Tant mieux, la dilution dénaturerait l'ensemble. Si cette saltimbanque savait son rôle..

Même un jour après je ressent encore physiquement les relents d' exaltation et euphorie, si intoxicants..

17 août 2005

Quand j'étais petit..

Quand j'étais petit, je séparais en deux une feuille de trêfle et déclarait à qui voulait l'entendre que j'avais "trouvé un trêfle à quatre feuilles"..
8 août 2005

Comment faire ?

Si j'ai raison quand je dis que les choses sur lesquelles les gens insistent et y consacrent le plus d'attention (je pense spécifiquement aux règles et autres "il faut") sont précisément les choses qu'ils ont le plus de difficultés à contrôler et suivre..

Changer de vie ? Après observation et réflexion, il semble que pour ce genre de chose, une personne doit forcément passer par une transformation intérieure très grande, et très possiblement traumatisante pour ce qu'elle était avant. Ou pas ? Parfois l'impression est que le meilleur moyen de changer et tout simplement de le faire, sans même presque y prêter attention. C'est d'ailleurs précisément ce qui se passe : on change, tout simplement - et surtout sans le décider. Car décider de changer serait de demander à une pierre de tomber plus ou moins vite, à une fleur d'éclore. Ces choses sont tout à fait réalisables, mais le contexte est primordial et décideur de ce processus - et c'est précisément l'acteur, qui évolue dans ce contexte, qui a le moins de pouvoir sur les lois pour lui immuables qui l'entourent. Ces dernières sont aveugles, sourdes et muettes. Il faudrait pouvoir tenir la foudre de ses propres mains..

Qui sait ?

10 février 2005

...


10 février 2005

Tiens !

Quelles étranges réminescences en relisant les précédentes lignes.. La fougue rageuse qui m'avait poussé à créer ce journal n'était de toute évidence qu' éphémère, ou bien n'était-elle  tout simplement pas adéquate à remplir la fonction que j' espérais lui assigner (écrire) ? Ou bien était-ce en fait de la dépréssion ? C'est en tout cas cette dernière qui me ramène à "mettre à jour" cet espace.

Le désir de cure est en moi ce soir extrème, et j'ai l'impression que seule l'écriture pourrait étancher ce besoin qui s'accaparre sans appel mes sens et mes pensées.
Victor Hugo a dit que "la mélancolie, c'est le bonheur d'être triste". Je me dois alors d'être mélancolique, de briser cet ennui profond. Dire que l'existence que je mène serait une souffrance est douloureusement comparable à une phrase typique du lycéen gothique dépréssif : c'est d'ailleurs, sans même essayer de me justifier subreptiscement pour me séparer du cliché, faux. Je ne mène pas sa vie : je sors, je "m'amuse", j'ai des dialogues (dont certains constructifs) avec d'autres personnes. Je mange à ma faim, j'ai un toit sous lequel dormir, et bien d'autres choses encore. Je ne souffre pas perpétuellement, ce qui se passe est beacoup plus amusant, le mal prend une forme beaucoup plus subtile que cela. Les visages et les paroles glissent, rebondissent sur moi, souvent rien n'a d'attirance décidée ou sûre - sans même chercher à impliquer une futilité dans les évènements qui m'entourent. Il existe des moments où les idées que l'on retourne dans sa tête paraissent plus réelles que l'immédiate proximité des choses qui nous entoure, non pas par fuite de la realité due à la frustration mais tout simplement parce que ces choses semblent tellement moins aporiques, leur logique en paraît comme suprème face à la paradoxale et terrible impalpabilité du contexte dans lequel ma personne vit. Est-ce dû à une réaction face au manque d'horizon ? Ou quelquechose de plus direct, de plus immédiat : le cru manque de stimulis jugés utiles ? Est-ce que je souffre, ou est-ce que je souffre de ne rien ressentir ? Suis-je finalement triste ou anesthésié ? Même si les deux choses sont comparables, Victor Hugo ne parlait pas de moi. Cette mélancolie, bien qu'insupportable, je l'apprécie, je m'y complaît presque ! Toutefois, ce n'est pas du bonheur dont il est question, mais d'être repu d'ennui. Etre inhibé face à l'existence au point de la sublimer presque transcendalement.
6 août 2004

Commencons

En amour, l'autoflagellation est un domaine dans lequel j'excelle. Je ne pourrais en toute sincérité me rappeler d'absolument tous les épisodes dans lequel j'ai eu des occasions plus qu'énormes de conclure avec certaines gens, mais qui finissaient avec une réaction a chute tragicomique de ma part en réaction aux perches tendues.. La véracité des faits qui seront relatés dans ce "Carnet Noir" sera peut-être contestée, mais qu'importe : je ne pourrais injustifier un air dubitatif de quelqu'un non pas parce que je n'en ai pas la naturelle motivation -découlant de la volonté de défense de sa propre parole quand on a conscience d'avoir raison ou de dire le vrai-, mais bien parce qu'il est évidemment impossible de prouver quoi que ce soit sans preuves concrètes, choses qu'il est tout aussi évidemment impossible de fournir. La seule garantie de ma bonne volonté réside en cette même phrase, contentez-vous en, et la lecture des petits exploits ici décrits n'en sera que plus agréable.
Publicité
Publicité
1 2 > >>
[Heureusement Sans Titre]
Publicité
Archives
Publicité